Le bonheur peut-il être l’affaire des entreprises ? Être heureux au travail rend-il plus productif ? Le questionnement naît dans les années 2000 chez géants du numérique alors en pleine croissance en Californie. Google va y répondre avant tout le monde en nommant un « Chief Happiness Officer », un chef du bonheur. Depuis, l’idée a fait son chemin un peu partout dans le monde. S’agit-il d’un véritable progrès ou bien d’un simple gadget ? Et concrètement, que fait un chef du bonheur ?